Acadia National Park, Maine (États-Unis) – Jour 2
Après le déluge de la nuit, nous nous réveillons avec une bonne brume matinale – qui finira néanmoins par se dissiper. Comme hier, nous consacrerons cette dernière journée au parc national Acadia.
Le ciel s’étant dégagé, nous revenons à Sand Beach afin de la revoir sous un meilleur jour.
Puis nous terminons la randonnée commencée hier, qui longe tout le bord de l’océan, entre falaises et végétation typiquement océanique. Grand frais et embruns à volonté !
Retour à Bar Harbor pour la pause de midi.
Admirez ce superbe voilier !
Nous repartons ensuite au sommet du mont Cadillac, afin d’admirer la magnifique vue de la baie des Français, entre autres. Et, cette fois, avec le soleil !
Puis, avant de repartir au Québec, nous terminons par une marche de 7,5 km dans le secteur de Witch Hole Pond.
Vers 16 heures, nous rentrons au Québec, avec un arrêt plus que rapide à la frontière canadienne (trois questions du douanier et basta) et un déluge de pluie en arrivant à Québec. Dès la frontière passée, nous retrouvons nos bonnes vieilles routes québécoises, les radios pourries et les conducteurs qui nous collent à deux mètres du pare-chocs ! Pas de doute, on est bien au Québec !
Après 1 255 km au total, nous voilà arrivés à la maison, déjà pressés de repartir vers cet endroit magnifique. Ce qui est sûr, c’est que le coût de la vie est bien plus abordable aux États-Unis qu’au Québec, et ce, même avec un $US plus fort. L’essence est beaucoup moins chère, tout comme les vêtements ; la nourriture et les restaurants sont légèrement moins chers.
Les Américains sont des gens très accueillants, très cool et la conduite est beaucoup plus sympa là-bas (personne ne te colle en permanence comme ici…). Les routes sont quasiment toutes magnifiques (avec le même climat qu’au Québec !) et la nature est bien plus accessible qu’au Québec (moins de propriété privée), en tout cas de ce que nous en avons vu. Les paysages sont grandioses et le calme absolu règne en maître… Ceci dit, et je le dis souvent, les vacances restent des vacances !
Mais nous y reviendrons, et vite !