La vieille ville de Takayama (Japon)

Après notre visite du Hida Folk Village, nous allons déjeuner dans le seul restaurant du coin, un petit boui-boui très sympa.

Le cuistot prépare nos soupes devant nous.

Le résultat est toujours aussi bon.

Et le prix était correct. 😉

Nous reprenons la route, à pied, en direction du centre-ville de Takayama.

En chemin, nous nous arrêtons dans ce gigantesque supermarché pour animaux.

On y trouve absolument de tout ! Je vous laisse apprécier…

Ceci est une table chauffante pour animaux. Tu parles qu’ils vont aimer ça !

On a même ramené un cadeau pour les « enfants » ! 😀

Après une bonne demi-heure de marche, nous arrivons dans la vieille ville de Takayama, datant de l’époque d’Edo (1603-1867).

J’adore ces petites rues pavées, toujours très propres et bien entretenues.

La rivière Miyagawa.

Malgré tout, Takayama est une ville très touristique, et les touristes y sont nombreux.

L’une des spécialités de la gastronomie japonaise, ce sont les biscuits en tous genres. Et si les goûts peuvent être particuliers (notamment ceux à base de pâte de haricots fermentés), les emballages sont absolument splendides. On a envie de tous les acheter !

En plus, il y a souvent des échantillons à déguster. Je peux vous dire qu’on les a tous goûtés ! Certains sont délicieux, d’autres sont… à essayer une fois seulement. 😉

Nous passons une bonne partie de l’après-midi dans ces magnifiques rues, entre dégustations sucrées et shopping dans les boutiques d’art traditionnel ou de souvenirs.

Dommage que le soleil ne soit pas de la partie ; au moins, il ne pleut pas.

J’adore cette petite rue ; je la trouve très agréable.

Nous passons devant quelques épiceries – toujours une curiosité au Japon. Voici une barquette de bœuf de Hida.

9 982 ¥ les 434 g (23 000 ¥/kg). Je vous laisse faire la conversion

Sans oublier l’inévitable produit de luxe : le melon ! 😀

Étant quelque peu fatigués, nous décidons d’aller manger à l’heure des poules (18 h 30). Nous choisissons un restaurant un peu au hasard. L’intérieur est très sympa ; les « tables » sont situées au niveau du sol, avec un espace pour les jambes, et tout est compartimenté, ce qui rend l’expérience très intime.

Difficile d’avoir des photos qui rendent bien, vu le peu de recul disponible.

Côté repas, on a fait dans le classique : pieuvre et gyoza, entre autres.

Ce que nous n’avions pas vu, en revanche, c’est la surtaxe ou « droit de table » (400 ¥ par personne) appliquée en plus du prix du repas. Je connaissais l’existence de cette règle quelque peu tue, mais nous ne l’avions jamais expérimentée. Surtout, nous ne l’avions pas vue à l’entrée du restaurant (car c’est toujours indiqué). Bon, ce n’est pas bien grave.

À demain, car la journée a été longue !

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