Dotonbori, Osaka (Japon)
Nous quittons Nara pour aller à Osaka. Nous y passerons la soirée et reviendrons à Kyoto ensuite.
Un train nous emmène directement dans le quartier de Dotonbori, l’un des plus célèbres de la ville avec celui de Namba.
Nous arrivons à Osaka vers 18 h ; il fait nuit depuis longtemps déjà.
L’architecture de la ville rappelle celle de Tokyo. D’ailleurs, certains surnomment Osaka « la petite Tokyo ». Petite ou non, la mégapole fait tout de même plus de 19 M d’habitants ! Un village, quoi.
Encore un clin d’œil à la France. Les Japonais adorent la vieille France ; vous savez, celle d’avant. 😉
Celui-là, je l’adore !
Comme à Tokyo, les décorations de Noël sont déjà bien présentes, plus d’un mois à l’avance.
L’architecture est tout de même très variée.
Ça y est, nous y sommes ! Si si, regardez : c’est écrit.
À partir de là, ça devient quelque peu embouteillé… On se croirait vraiment à Tokyo, à Shibuya par exemple. La population semble très jeune.
Le fameux Kani Doraku Crab, un crabe des neiges mécanique bougeant ses pattes et ses yeux. Il a été construit en 1960 sur la façade du restaurant éponyme.
C’est très, très coloré, très vivant et très bruyant. Une fois n’est pas coutume, on s’en accommode très bien. Je dirais presque qu’on se sent bien dans ce quartier.
Allez, une photo de moi – pour changer. Cherchez bien.
Une représentation de gyoza sur la façade d’un restaurant.
Ça, c’est collector !
Une lanterne en forme de fugu (poisson-globe), un poisson très toxique – voire mortel – s’il n’est pas cuisiné correctement. Une institution au Japon.
Choisir un restaurant à Osaka, et d’une manière générale dans les grandes villes japonaises, c’est assez compliqué. Il y en a tellement ! Nous en choisissons un où l’okonomiyaki est à la carte, car c’est une spécialité d’Osaka que je voulais absolument goûter. C’est une sorte d’omelette, pour faire très simple. C’est très long à préparer. Pour plus de détails, je vous renvoie au lien situé plus haut.
Personnellement, j’ai bien aimé ça. C’est très consistant !
Nous faisons un dernier tour du quartier avant de repartir à Kyoto.
Admirez la beauté des couloirs du métro. Évidemment, rien ne traîne par terre et il n’y a aucun graffiti ; on n’est pas à Paris, hein. C’est la différence entre un peuple civilisé et un autre qui ne l’est plus.
Ce soir, nous prenons notre dernier train « gratuitement » (compris dans notre JR Pass). À partir de demain, et pour les cinq derniers jours, nous arpenterons Kyoto l’éternelle et ses environs immédiats.