Giant’s Head Park, Summerland, Colombie-Britannique (Canada)
Après le Kettle Valley Rail Trail en matinée, notre après-midi sera consacré à l’ascension de Giant’s Head. C’est un sommet qui se trouve dans le parc du même nom, lequel se situe tout près du centre-ville de Summerland.
Le plan du parc, avec les différents sentiers. Ça a l’air relativement récent.
Voici la route d’accès au parc (en gris sur le plan), laquelle est exceptionnellement fermée aux véhicules à cause des restrictions liées au virus.
Nous commençons notre ascension en empruntant la route. À l’instar d’une route de montagne, celle-ci serpente dans les collines. On a déjà de belles vues sur la vallée, la ville de Summerland et le lac Okanagan.
Çà et là, on peut voir de belles fleurs comme celle-ci.
Un peu plus loin, nous quittons la route et prenons un sentier au hasard.
C’est sympa ; il fait modérément chaud, plutôt beau, la vue est belle et il n’y a presque personne.
Zoom sur une petite propriété…
Nous poursuivons l’ascension…
Ici, nous prenons le sentier jaune, en direction de East Ridge.
Ça grimpe !
Une fois arrivé sur la crête, la vue est splendide. Comme souvent, en été, les cumulus s’accrochent aux sommets environnants, tandis que la vallée de l’Okanagan reste relativement bien ensoleillée (en hiver, c’est l’inverse).
À nouveau, un zoom sur les quartiers résidentiels, ma foi très agréables.
Vue vers Penticton, à l’extrémité sud du lac Okanagan. Nous irons dans le secteur demain.
Enfin, après environ une heure et demie de marche tranquille, et avec quelques arrêts, nous arrivons au sommet (822 m au GPS). Les derniers mètres étaient quelque peu pentus !
Pour terminer, voici quelques vues des environs, vers le sud puis vers l’ouest.
Et, une fois n’est pas coutume, je me mets en scène. Profitez-en, c’est rare !
Dans un premier temps, nous sommes redescendus par la sentier rouge (Grind) — le plus difficile —, puis nous avons continué en empruntant la route goudronnée. C’était bien plus agréable et moins traumatisant pour les genoux.
En somme, c’était une bien belle balade, mais la montée était, toutes proportions gardées, plus raide que je ne l’imaginais.